dimanche 26 mars 2017

LE JOUR OÙ LA TERRE S'ARRÊTA_la rouille




la rouille









les producteur des produits des rouilles :  https://www.helloasso.com/associations/la-rouille


La rouille

Espace multi-culturel et atelier de construction

qui sommes-nous ?

Notre mission

La Rouille, c’est l’oxyde de fer de couleur brun-rouge produit par la corrosion des métaux.  A Marseille, c’est aussi cette drôle de mayonnaise provençale, épicée et relevée, qui donne tout le goût à une soupe de poissons ou à une bouillabaisse. Dans les deux cas elle définit bien ce vaste local, ancien garage restauré ou l'odeur d'huile de vidange à fait place à des senteurs nouvelles. Il accueille entre ses machines outils et stocks de bois, de peintures, de ferrailles servant à la construction de décors et de machines toutes sortes de manifestations culturelles. Des projets qui sont le fruit d’une mûre réflexion ou de l’apéro d’un soir avec ceux qui anime les lieux, tous dans un même bateau, qui n’a rien d’une galère mais qui doit ramer fort pour se maintenir à flots. Projection de films rares, concert intimistes ou plus déjantés, expos photos ou peinture, marché de créateurs, théâtre, rien ne semble impossible si l’énergie produite est suffisante à réchauffer cet espace brut.

La rouille est un grand terrain de jeux  et de travail parce que les deux vont si bien ensemble…de rencontres et de créations modulables pour les joyeux qui y résident et les curieux qui y passent.

lundi 20 mars 2017

THE Subway AND THE Train IN Japan











QUESTION... Showing results for how many apollo went to the moon

Six missions landed men on the Moon, beginning with Apollo 11 in July 1969, during which Neil Armstrong became the first man to walk on the Moon. Apollo 13 was intended to land, however it was restricted to a flyby due to a malfunction aboard the spacecraft. All nine manned missions returned safely to the Earth.


30th Anniversary of Apollo 11 - July, 1999
The Apollo program was designed to land humans on the Moon and bring them safely back to Earth. Six of the missions (Apollos 11, 12, 14, 15, 16, and 17) achieved this goal. Apollos 7 and 9 were Earth orbiting missions to test the Command and Lunar Modules, and did not return lunar data. Apollos 8 and 10 tested various components while orbiting the Moon, and returned photography of the lunar surface. Apollo 13 did not land on the Moon due to a malfunction, but also returned photographs. The six missions that landed on the Moon returned a wealth of scientific data and almost 400 kilograms of lunar samples. Experiments included soil mechanics, meteoroids, seismic, heat flow, lunar ranging, magnetic fields, and solar wind experiments.
Click on the spacecraft name for information about the spacecraft and data held at NSSDCA

Apollo Lunar Missions

Apollo 8

Launched 21 December 1968
Lunar Orbit and Return
Returned to Earth 27 December 1968

Apollo 10

Launched 18 May 1969
Lunar Orbit and Return
Returned to Earth 26 May 1969

Apollo 11

Launched 16 July 1969
Landed on Moon 20 July 1969
Sea of Tranquility
Returned to Earth 24 July 1969

Apollo 12

Launched 14 November 1969
Landed on Moon 19 November 1969
Ocean of Storms
Returned to Earth 24 November 1969

Apollo 13

Launched 11 April 1970
Lunar Flyby and Return
Malfunction forced cancellation of lunar landing
Returned to Earth 17 April 1970

Apollo 14

Launched 31 January 1971
Landed on Moon 5 February 1971
Fra Mauro
Returned to Earth 9 February 1971

Apollo 15

Launched 26 July 1971
Landed on Moon 30 July 1971
Hadley Rille
Returned to Earth 7 August 1971

Apollo 16

Launched 16 April 1972
Landed on Moon 20 April 1972
Descartes
Returned to Earth 27 April 1972

Apollo 17

Launched 07 December 1972
Landed on Moon 11 December 1972
Taurus-Littrow
Returned to Earth 19 December 1972
The Apollo mission consisted of a Command Module (CM) and a Lunar Module (LM). The CM and LM would separate after lunar orbit insertion. One crew member would stay in the CM, which would orbit the Moon, while the other two astronauts would take the LM down to the lunar surface. After exploring the surface, setting up experiments, taking pictures, collecting rock samples, etc., the astronauts would return to the CM for the journey back to Earth.

Apollo Crewed Earth Orbiting Missions

Apollo 7

Launched 11 October 1968
First crewed Apollo flight
Splashdown 22 October 1968

Apollo 9

Launched 03 March 1969
First crewed Lunar Module test
Splashdown 13 March 1969

 

List of missions to the Moon


As part of human exploration of the Moon, numerous space missions have been undertaken to study Earth's natural satellite. Of the Moon landings; Luna 2 was the first spacecraft to reach its surface successfully, intentionally impacting the Moon on 13 September 1959. In 1966, Luna 9 became the first spacecraft to achieve a controlled soft landing, while Luna 10 became the first mission to enter orbit.
Between 1968 and 1972, manned missions to the Moon were conducted by the United States as part of the Apollo program. Apollo 8 was the first manned mission to enter orbit in December 1968, and was followed by Apollo 10 in May 1969. Six missions landed men on the Moon, beginning with Apollo 11 in July 1969, during which Neil Armstrong became the first man to walk on the Moon. Apollo 13 was intended to land, however it was restricted to a flyby due to a malfunction aboard the spacecraft. All nine manned missions returned safely to the Earth.
While the United States focused on the manned Apollo program, the Soviet Union conducted unmanned missions that deployed rovers and returned samples to the Earth. Three rover missions were launched, of which two were successful, and eleven sample return flights were attempted with three successes.
Missions to the Moon have been conducted by the Soviet Union, United States, European Space Agency, Japan, India and the People's Republic of China. The Moon has also been visited by five spacecraft not dedicated to studying it; four spacecraft have flown past it to gain gravity assists, and a radio telescope, Explorer 49, was placed into selenocentric orbit in order to use the Moon to block interference from terrestrial radio sources.


Un retour vers la Lune avant les 50 ans d’Apollo 11 ?

Un retour vers la Lune avant les 50 ans d’Apollo 11 ?
La société privée SpaceX a annoncé qu’elle enverrait 2 touristes autour de la Lune en 2018. De son côté, la NASA étudie la possibilité de transformer le vol d’essai circumlunaire de sa capsule Orion en mission habitée pour la même année.
Comme à son habitude, Elon Musk sait attirer l’attention sur ses initiatives. Le bouillant fondateur et patron de SpaceX a en effet déclaré le 27 février que sa société enverrait 2 touristes autour de la Lune en 2018. Beaucoup ont une fois de plus dénoncé une annonce sensationnelle irréaliste, souvent en ignorant le contexte actuel où la destination lunaire semble revenir en force.

SpaceX oublie Mars pour la Lune ?

Rappelons que lorsque Elon Musk créa SpaceX en 2002 il s’attira surtout des quolibets. Et la situation ne s’arrangea pas quand les 3 premiers vols de son lanceur Falcon 1 se soldèrent par des échecs. Mais l’entrepreneur venu d’Afrique du Sud qui fit fortune avec le système de paiement PayPal sur le web n’est pas homme à se laisser abattre par des difficultés. On pourrait même avancer qu’elles le stimulent…
Aujourd’hui, SpaceX exploite le lanceur Falcon 9 (bien plus puissant que le 1) qui envoie vers la Station Spatiale Internationale une capsule cargo automatique Dragon dans le cadre d’un contrat avec la NASA. La firme privée pèse de plus en plus sur le marché des lancements, forçant même l’Europe à réagir en mettant en chantier Ariane 6 afin de succéder à Ariane 5 trop cher face aux tarifs du nouveau venu. On le sait, Elon Musk rêve surtout de vols habités vers la planète rouge et il n’avait pas hésité à présenter en septembre 2016 un engin capable de transporter 100 personnes vers Mars. Là aussi, les quolibets n’ont pas manqué. Toutefois, il s’agissait surtout pour Musk de positionner SpaceX comme prestataire capable d’innovation dans la logique du Journey to Mars de la NASA.
Le Crew Dragon présenté par Elon Musk (à droite) en 2014. Développé pour transporter les astronautes de la NASA vers l’ISS, SpaceX avance qu’il peut aussi convoyer des gens autour de la Lune. Il faut dire que dès le départ l’engin a été pensé multi-missions, une version dite Red Dragon étant prévue pour se poser sur Mars. Crédit : SpaceX
Le Crew Dragon présenté par Elon Musk (à droite) en 2014. Développé pour transporter les astronautes de la NASA vers l’ISS, SpaceX avance qu’il peut aussi convoyer des gens autour de la Lune. Il faut dire que dès le départ l’engin a été pensé multi-missions, une version dite Red Dragon étant prévue pour se poser sur Mars.
Crédit : SpaceX
Avec son annonce d’une mission visant à envoyer 2 touristes autour de la Lune avec le Crew Dragon (version habitée du Dragon) l’entrepreneur oublie-t-il son objectif martien ? Pas forcément. La Lune est souvent présentée comme une étape technique idéale pour s’entraîner avant le voyage plus complexe qui nous amènera vers la quatrième planète. De plus, les réalités budgétaires actuelles font que notre satellite naturel reste un objectif bien plus accessible. La NASA le sait bien et c’est pourquoi son Journey to Mars commence par 2 vols de son futur lanceur lourd SLS (Space Launch System) avec une capsule Orion vers… la Lune, le premier en automatique et le deuxième habité. Or cela pourrait changer !

La Chine, la NASA et le privé visent la Lune

L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche a déjà secoué le monde spatial américain. Si aucune décision n’a encore été officiellement prise par le 45ème président des États-Unis, certains de ses conseillers en matière astronautique ont exprimé un intérêt pour un retour habité vers la Lune. Une rumeur persistante veut qu’avant son installation à Washington, DC le milliardaire ait reçu dans sa tour à New York un historien du spatial afin de débattre de la mobilisation du pays lors d’Apollo. Du coup, il n’y a rien de vraiment étonnant à ce que la NASA ait annoncé le 24 février étudier la faisabilité de faire plus rapidement un vol habité autour de la Lune. Au départ, le vol dit Exploration Mission-1 (EM-1) devait voir un Orion (avec un module de service de l’Agence Spatiale Européenne) accomplir le voyage en automatique. Désormais, EM-1 se ferait avec un équipage. La date envisagée ? Fin 2018 ! En cas de délai supplémentaire pour bien préparer cette nouvelle orientation, ce qui est fortement envisagé par la NASA elle-même, qui sait si on ne visera pas alors 2019, l’année des 50 ans d’Apollo 11 ?
Le vaisseau Orion de la NASA avec un module de service de l’Agence Spatiale Européenne. La NASA étudie la possibilité d’accélérer son calendrier initial pour accomplir un vol habité autour de la Lune fin 2018. Crédit : NASA
Le vaisseau Orion de la NASA avec un module de service de l’Agence Spatiale Européenne. La NASA étudie la possibilité d’accélérer son calendrier initial pour accomplir un vol habité autour de la Lune fin 2018.
Crédit : NASA
Et comme par hasard, Elon Musk, qui au passage est au nombre des chefs d’entreprise qui participent à un panel consultatif de Donald Trump, déclare quelques jours plus tard le 27 février que SpaceX peut accomplir un vol circumlunaire ! Une fois de plus, il présente sa société comme un partenaire capable de réaliser les objectifs spatiaux américains selon une logique de partenariat public-privé et sous-entendu pour un budget moindre.
Privatiser une logique de desserte lunaire ? Elon Musk n’irait-il pas trop vite ? Pas vraiment puisque la NASA, avec son programme Lunar CATALYST (Lunar Cargo Transportation and Landing by Soft Touchdown), soutient depuis 2013 des sociétés qui travaillent sur des solutions de cargos automatiques vers notre satellite naturel. De même son initiative NextSTEP (Next Space Technologies for Exploration Partnerships) finance des études de modules d’habitation cislunaires, autrement dit des petites stations sur orbite autour de la Lune (dans la logique de préparer les technologies pour Mars). On notera que l’industriel européen Thales Alenia Space (branche Italie) est dans la boucle via son partenaire Orbital ATK avec une version lunaire du cargo ISS Cygnus.
Pour envoyer Orion autour de la Lune, la NASA utilisera le lanceur SLS qui est en cours de développement. Crédit : NASA
Pour envoyer Orion autour de la Lune, la NASA utilisera le lanceur SLS qui est en cours de développement.
Crédit : NASA
De plus, la NASA et SpaceX ne sont pas les seuls à viser la Lune. Ainsi, le Google Lunar XPrize récompensera de 20 millions de dollars la première mission automatique privée sur notre satellite naturel (date limite de décollage : fin 2017). L’Agence Spatiale Européenne (ESA) met en avant le projet de Moon Village porté par son directeur général Jan Woerner qui souhaite ainsi coordonner l’exploration lunaire robotique puis habitée.
Bien évidemment, l’autre joueur de grande importance est la Chine. Elle a déjà envoyé avec succès 2 sondes autour de la Lune (Chang’e-1 en 2007 et Chang’e-2 en 2010), posé un atterrisseur avec un rover (Chang’e-3 en 2013) et accomplit une répétition partielle de retour d’échantillons (Chang’e-4-T1 en 2014). 2017 devrait être l’année de la véritable mission de retour d’échantillons prélevés à la surface de la Lune. Ce programme robotique ne doit cependant pas cacher l’éventualité d’un vol habité chinois autour de notre satellite naturel et plus tard une exploration à la surface.

Le vol lunaire de SpaceX est-il crédible ?

En bon commercial, Elon Musk souhaite donc surtout occuper un marché potentiel qui pourrait s’avérer juteux alors que le cinquantième anniversaire d’Apollo 11 se profile pour 2019.
Techniquement, la mission proposée (avec un retour libre, ce qui facilite le profil de vol puisque l’engin suit une trajectoire qui le ramène vers la Terre sans la nécessité d’une délicate manœuvre de propulsion) est à portée de SpaceX. Il lui faut en revanche une nouvelle version plus puissante de son lanceur, le Falcon Heavy (qui réunit 3 étages Falcon 9 côte à côte au décollage), qui n’a pas encore volé et un vaisseau habité. Ce dernier sera le Crew Dragon. Lui aussi n’a pas encore volé mais la société le développe depuis plusieurs années puisqu’elle doit l’utiliser pour transporter les astronautes de la NASA vers la Station Spatiale Internationale fin 2017, début 2018. Un Crew Dragon a ainsi déjà accompli avec succès un test d’éjection du pas de tir en mai 2015, une procédure de sauvegarde d’un équipage en cas d’accident sur le lanceur encore au sol.
Test réussi de la procédure de sauvegarde d’un Crew Dragon et de son équipage le 6 mai 2015. Un essai exigé par la NASA dans cadre de son Commercial Crew Program qui verra SpaceX transporter ses astronautes vers l’ISS. Crédit : NASA
Test réussi de la procédure de sauvegarde d’un Crew Dragon et de son équipage le 6 mai 2015. Un essai exigé par la NASA dans cadre de son Commercial Crew Program qui verra SpaceX transporter ses astronautes vers l’ISS.
Crédit : NASA
Le Falcon Heavy de son côté voit son vol inaugural prévu pour l’été prochain. Ce calendrier, que beaucoup jugent optimiste, est en phase avec la mission fin 2018 des 2 touristes dont l’identité n’est pas précisée et qui auraient déjà versé d’importantes sommes d’argent. D’autres s’étonnent qu’on ose envoyer deux touristes seuls vers la Lune. La chose apparaît en effet pour le moins risquée. Le communiqué de presse de SpaceX évoque en effet les deux passagers, mais n’affirme pas non plus qu’ils seront les seuls à bord de Crew Dragon… La possibilité de leur adjoindre un professionnel reste ouverte.
Le Falcon Heavy (illustration) de SpaceX n’a pas encore volé. Il décollera du pas de tir LC-39A du centre spatial Kennedy de la NASA qui a servi aux missions Apollo et aux navettes. L’agence américaine loue le pas de tir à SpaceX. Le 19 février un Falcon 9 de la firme privée a décollé du LC-39A. Crédit SpaceX
Le Falcon Heavy (illustration) de SpaceX n’a pas encore volé. Il décollera du pas de tir LC-39A du centre spatial Kennedy de la NASA qui a servi aux missions Apollo et aux navettes. L’agence américaine loue le pas de tir à SpaceX. Le 19 février un Falcon 9 de la firme privée a décollé du LC-39A.
Crédit SpaceX
En fait, le plus compliqué n’est pas tant la capacité technique, mais l’échéance de 2018 étant donné les étapes cruciales à franchir dont de toujours délicats premiers vols. Ce ne serait toutefois pas la première fois qu’Elon Musk se montre (très) optimiste côté calendrier… Notons enfin que 2018 ou même 2019 sont également des années estimées peu réalistes par certains experts pour l’idée de la NASA de faire d’EM-1 un vol habité au regard du développement du SLS. Visiblement, pour le moment, il s’agit surtout d’occuper le terrain et de se déclarer prêt pour la Lune !

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